Le coup d’état de droit concerne le géant pétrolier américain ExxonMobil, dans un procès contre les spécialistes dans le domaine des pratiques ESG. La demande de justice du groupe contre un groupe activiste minoritaire, Arjuna Capital, a débutée devant un tribunal au Texas.
L’affaire remonte à Janvier dernier, quand Exxon dépose plainte contre Arjuna Capital et un autre investisseur. Ils voudraient voter pour une solution destinée à limiter les émissions de gaz à l’effet du groupe. Dans le passé, la Chambre de commerce américaine a utilisé l’argument d’Exxon, estimant que la mission du genre de proposition était l’une des questions temporaires et urgentes. La solide entreprise texane qui propose des solutions pour le climat, récupérées chez AG, assure que la mise en œuvre des propositions est d’une grande importance. C’est pourquoi Arjuna Capital peut proposer une solution. Tandis qu’ExxonMobil maintient de plus en plus une plainte, reçoit une solution.
La justice texane est réputée pour ses positions progressistes, mais le juge Mark Pittman condamnera Arjuna Capital en s’attendant à une résolution similaire. Le juge affirme que c’est le mode d’action militant qui se développe aux Nations Unies et non plus comme une sorte d’homme. Une véritable menace pour l’avocat d’Arjuna Capital serait qu’Arjuna ou ses militants alliés prennent des mesures.
Stratégie du cheval de Troie
Sur le site Internet d’Exxon, Exxon affirme que « les militants ne peuvent pas mener à bien leurs actions s’ils autorisent de nouvelles solutions qui augmentent la valeur de l’action à long terme ». Si vous êtes sûr que la « technique du Troie-cheval » fait appel à la notation ONG, elles peuvent minimiser une partie du capital pour nos assemblées générales.
Le directeur des investissements d’Arjuna Capital a été critiqué pour la démarche d’Exxon, qui souhaite que le processus soit « équitable pour les investisseurs qui se posent des questions sur les risques climatiques ». Une « tactique d’intimidation » peut être une jurisprudence juste qui permet l’expression de minorités orientées vers l’action sur les questions sociales.
Attaques des géants français
Dans l’Atlantique Est, les plus grandes entreprises françaises ne souhaitent pas riposter et engager des poursuites contre les acteurs environnementaux. Mardi la cour d’appel de Paris peut recevoir des réclamations envisageant de recourir à TotalEnergies et EDF. Si l’on accuse deux multinationales d’être vigilantes, elles sont obligées de publier un plan sur les risques pour les personnes et l’environnement de leurs activités. Alors que se déroulait la bataille contre Amundi, le Premier ministre de TotalEnergies, il a reçu un prix pour une centaine de militants écologistes de la part de l’AG du groupe.