Un bon cru, plus qu’un millésime. Après deux années de croissance rapide en 2021 et 2022 pour le tour de la page du Covid, les entreprises du CAC 40 ont traversé un exercice robuste des années plus flamboyantes en 2023, tandis que le Profil financier de l’indice Paris a été réalisé par le cabinet EY. Les revenus et les bénéfices des champions de France atteindront leurs records en 2022.
L’entreprise du CAC 40 a réalisé un chiffre d’affaires de 1,736 milliard d’euros, en très large reprise (-0,7%) selon le rapport au cru exceptionnel de 2022. Le résultat net est fortement valorisé à 4,2%, à 149 milliards d’euros. «Les chiffres sont bons, les entreprises sur la garde le cap», l’auteur de l’étude, Nicolas Klapisz, qui signe que la phase de relance post-Covid est laissée à la place d’un cycle de croissance structuré.
Le résultat est un mauvais exemple d’un secteur notable du secteur de l’énergie qui, après avoir, souscrit à une progression de 55% des fils de chef d’entreprise en 2022, dont un entrepreneur de 14%, sur la question à Berne. . TotalEnergies en est le principal responsable et a une réponse de 18,55% de ces années, de l’ordre de 50 milliards d’années, une grande partie d’Engie (-12%).
Partie énergie, le reste du CAC 40 s’élève à 3,3%, « en ligne avec le niveau historique du croissant-pré-crise sanitaire », précise EY. Le luxe, l’aviation, le BTP et l’automobile qui participent à cette maison, Stellantis est un plus brut avec 189,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires (+5,5%).
Marge de deux chiffres
La marge opérationnelle courante des sociétés de l’index – hors banques, assurances et foncières – une nouvelle vie très résistante à l’inflation, tout en calculant un pourcentage inférieur de 0,4 point, pour un rendement de 13,1%, pour deux chiffres pour la troisième année d ‘affilée. Si l’énergie, le BTP et la pharmacie sont devenus négatifs, la technologie et les marchandises sont des marges de progrès, tandis que le luxe est une limitation dans l’entretien.
Le résultat opérationnel peut générer un montant important de 200 milliards d’euros. La notation des fruits « un beau travail sur la maîtrise des coûts et les fondamentaux solides », estime Nicolas Klapisz.
Au fil du temps, si les grandes entreprises s’habituent aux tensions économiques et aux incertitudes de l’économie, il ne sera jamais question d’un coup d’État. Avec un score élevé pour le secteur de l’énergie, la croissance de 3,3% du chiffre d’affaires du CAC 40 n’est qu’une progression de plus de 20% enregistrée en 2020 et 2021.
Internationalisation
Le cru 2024 pour être moins favorable. La correction boursière de la semaine dernière et la désillusion brutale des investisseurs face aux actions françaises – je fais partie de la surréaction – alors que la crise politique est en train d’être surmontée avec la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron.
La prospérité sans vergogne des entreprises du CAC remonte à 40 ans depuis que les concepteurs ont donné la priorité à une décision financière majeure du gouvernement. Au risque que nos marges soient folles. La forte internationalisation des entreprises françaises a un rôle protecteur chez EY. Et les hors des banques, assurances et foncières, par nature très exposé en français, 77,3% des activités des sociétés CAC sont réalisées, 40% hors de l’Hexagone et 48% hors Europe.
Champion tricolore ces dernières années, le secteur du luxe et de la cosmétique réalise un prix de 95 % de ses flux de ventilation. Lorsque les entreprises atteignent leur pourcentage de 90 %, on voit ArcelorMittal, Danone, Michelin, Sanofi, Schneider Electric ou Stellantis. A partir de 60%, le BTP est une revanche plus une exposition à la situation intérieure.
Les sociétés parisiennes de l’indice principal en deviendront administrateurs en 2023. Nos investissements sont augmentés pour les trois années consécutives, couvrant la limite de 100 milliards d’euros. Et pour la première de la nouvelle année 2019, le résultat net fait partie de la maison (+7%, à 175 milliards d’euros). Un signe de confiance qu’un dernier est capable de maintenir un niveau d’activité et de marges dans le domaine de l’ancien prochain.
Les dividendes sont une nouvelle vie dans la maison
La tendance est plus favorable que la politique de dividende en 2023. La société CAC a gagné 40 milliards d’euros grâce aux listes d’action d’EY, qui atteindront 3 milliards de plus en 2022. Le cabinet note que la distribution a gagné 50%, avec effet rétroactif aux niveaux d’avant Covid. Le rendement du dividende est en amélioration d’environ 3,1 %.