Après le dépôt de la décision en juillet 2023 restreindre l’exportation de certains types de riz Si vous souhaitez rendre la maison du prix plus calme en période préélectorale, vous pouvez prévoir le repas avec soufflé. L’Indien représente 40% des exportations mondiales, base de l’être humain. Le contexte – restrictions aux exportations, baisse des prix – est un excellent souvenir de la crise alimentaire de 2007-2008. Les coûts s’élèvent déjà à un prix de 1 000 dollars la tonne.
La crise est terminée et il n’y a jamais eu d’utilisation réelle. Tarif des cours pour les certificats augmenté d’environ 30% Il n’a plus été flambé depuis la fin des années 2000. Finalement, les grands producteurs continuent d’exporter leur riz. « Les acteurs sont au travail, puis l’ensemble est prudent, ils veulent limiter la hausse des prix en complétant un contraste rapide d’exportation, empêchant un éventuel retour de l’économie en marche », dans le rapport Cyclope Patricio Mendez del Villar, chercheur au Centre. de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad).
Effet d’aubaine pour les voisins
La Thaïlande, le Vietnam et le Pakistan, respectivement deux, trois et quatre pays exportateurs au monde, bénéficient pour leur part « de l’influence australienne », note l’expert. Pour notre pays au Pakistan, la situation constitue une exception particulière en 2023-2024. Alors que de hauts responsables du bureau statistique du Pakistan, Islamabad a augmenté de 60 % ses exportations de 5,6 millions de tonnes en 11 mois, ce qui représente la plus grande part de ses exportations. Au cours de cette période, les cotisations passeront de 2 milliards de dollars à 3,6 milliards de dollars. Entre juillet et mars, le Pakistan a enregistré un excellent rendement de 9,87 millions de tonnes, alors que 7,32 millions de tonnes constituent un plus.
« L’embargo si l’autorisation est donnée au Pakistan de passer un jalon et une matière d’exportation du pays », analyse Elvis John, spécialiste des marches agricoles chez S&P Global . Dans un contexte de tensions, les salaires deviennent un bon marché alternatif, constatent les importateurs africains. Si l’on sait qu’il n’est pas possible d’augmenter l’approbation de l’économie indienne, il est vrai que les circuits au Pakistan ne sont pas très compétitifs par rapport aux produits venus de Thaïlande et du Vietnam.
Baisse de 60% de chinoises importées
L’attitude chinoise est une condition préalable à une crise. L’ancien domaine de l’environnement a abouti à une réduction sensible des importations environnementales. Elles ignorent 6,6 millions de tonnes en 2022 et 2,7 millions de tonnes en 2023, soit une baisse de 59 %. Dans le cas où l’embargo sur les terres non basmati est imposé par New Delhi, l’accord des exemptions de paiement ne dépend pas de la sécurité alimentaire, notamment en Afrique.
« L’équilibre entre la production globale et la réalisation du reste des soins », a toutefois rencontré en garde Patricio Mendez del Villar. « Le phénomène climatique El Niño affecte les prix de production et les exportations mondiales des régions les plus importantes de plus de détails », précise l’expert. Si tout se passe bien, la mousson est effectivement fabuleuse, les prix sont à moins de 20% normaux, ce qui est le problème des agriculteurs à l’heure de la moitié.