Une semaine après les élections européennes marquées par une série de partis d’extrême droite dans les Etats fondateurs de l’UE, les dirigeants du 4 septembre retourneront ce lundi à Bruxelles pour en évaluer l’impact.
Emmanuel Macron assiste notamment à ce dîner informel. « Les chefs d’État et de gouvernement posent beaucoup de questions au président français sur l’impact la dissolution de l’Assemblée nationale Concernant la politique intérieure de la France et la ligne européenne, on dit qu’un des diplomates aurait préparé la réunification.
Dynamique de l’Union
Le président français expliquera à ses collègues que la manière dont les lois sont votées est très différente en Europe. La grande effervescence s’est poursuivie le 30 juin, avec une participation plus élevée que le 9 juin (51,5%).
Les partenaires de la France sont particulièrement soucieux du développement de la France et de la deuxième économie de l’UE et attachent une grande importance à leur « collection d’idées ». Une politique européenne initiée par la France donne un effet radical au dynamisme de l’Union.
Plus qu’Olaf Scholz, de l’autre côte du Rhin, Il ne se soucie pas d’avoir atteint le nombre de points du SPD (13,9%), la coalition tripartite s’est réunie avec plus de voix pour la démocratisation chrétienne.
Meloni et Tusk sont heureux
Au contraire, Donald Tusk, Prise du pouvoir à Varsovie en décembre dernier il y a un certain confort en Europe. La plate-forme Initiative citoyenne a quitté le parti nationaliste Droit et Justice et a envoyé à Bruxelles la deuxième délégation du groupe conservateur PPE, derrière elle, la CDU allemande à droite.
Giorgia Meloni est aussi un pilier de la réussite de ses frères italiens, qui ont siégé au Parlement européen. la première délégation du groupe eurosceptique ECR . C’est la dernière chose à faire pour recruter des députés non affiliés et devenir la troisième force de la Chambre.
Samedi, jusqu’à la fin du G7, qui se situe aux Pouilles La Première ministre italienne a souligné : « L’Europe comprend le message adressé aux citoyens européens. » Elle dit : « Cela nécessite du pragmatisme, une approche plus idéologique de diverses grandes questions », en soulignant deux grands thèmes de la dernière législation : les Verts européens. Le Pacte et la question migratoire.
Flexibilités
Au cours de la première moitié du repas, les chefs d’orchestre se sont mis à table et ont expliqué qu’avec environ 400 eurodéputés, la majorité du Parlement européen est composée de conservateurs, de centristes et de socialistes. un nombre suffisant de victoires pour rester au Parlement .
Il faudra donc mettre en scène les travaux du Pacte Vert, un ensemble de textes qui organisent la décarbonation de l’économie européenne. On n’en parle pas vraiment, mais on sait qu’un retour à de nombreux niveaux de la société est prévu. « La flexibilité est nécessaire », a assuré un diplomate.
Au sujet de la politique migratoire : l’UE sera bien accueillie en mai Nouveau pacte sur la migration et l’asile – avec une profonde tristesse. « Mais cela ne résout pas tous les problèmes », estime le même diplomate, pour qui « l’arnaque continue à être de diffuser les choses sur cette base ».
Politique d’échange
Enfin, les chefs d’orchestre doivent remettre en question la politique commerciale et l’attitude de l’UE à l’égard de Pékin, suite à la décision de la Commission de convoquer De nouveaux droits douaniers pour les véhicules électriques chinois . Xi Jinping ne sait visiblement pas comment changer de modèle économique ni absorber ses excédents de capacités industrielles, obligeant l’Europe à se protéger.
A l’issue de ces débats, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission et candidate à un second mandat, a dû démissionner de ses fonctions et détourner les chefs d’Etat et de gouvernement de la question des postes clés au prochain tour de scrutin.
calendrier
Il existe un consensus sur le fait qu’Ursula von der Leyen et Roberta Metsola doivent se rencontrer respectivement devant la Commission et le Parlement. L’ancien Premier ministre portugais prend la présidence du Conseil européen et le Premier ministre estonien Kaja Kallas dirige la diplomatie européenne.
De nombreux hommes politiques espèrent être réélus dans un contexte politique très agité avec des élections au Royaume-Uni en juillet et dans certains États américains en novembre. Dans ce contexte, le ministre italien des Affaires étrangères Antonio Tajani a estimé qu’il pourrait participer à la deuxième session de l’Assemblée législative française le 7 juillet.