Un signal d’encouragement. Le groupe BPCE présente, jeudi, du revenu de la maison de 3% pour le deuxième trimestre, à 5,6 milliards d’euros : la première fin 2022, pour le groupe qui est une invite, encore plus que ses simultanément, l’épinglage de la marge d’intérêt de la remontée des taux en Europe, début 2022 .
L’explication de la partie historique de la distribution du Livret A : avec la maison du taux, le rendement du produit sera une multiplication par 6 après le début de 2022, et la banque de la banque cette récompense supplémentaire. Si cela prend plus de temps, tout en se produisant en même temps, vous pourrez injecter votre argent plus rapidement dans les crédits des clients.
Maison du prix du risque
C’est bien Cette étape du processus délicat fait référence à la saisine. Si toutes les parties du groupe n’affichent pas de belles performances commerciales, les marges sont recomposées. « En observant une normalisation progressive des intérêts nets. Les revenus augmentent dans la banque populaire, et se stabilisent dans les Caisses d’Epargne », a déclaré Nicolas Namias, président du Directoire de BPCE, dans une société aux « Echos ». Les autres activités de détail liées à l’assurance, au paiement ou à la finance spécialisée peuvent augmenter leurs revenus, tout comme les activités de marche.
Une fois que c’est le cas, au rythme trimestriel, le résultat est une part nette du groupe de 17%. Par conséquent, un effet négatif sur la comparaison est dû à un rapport qui conduit à un autre problème : le risque d’une affiche dans une maison en filet est élevé au deuxième trimestre, une observation de l’évolution et de l’évolution globale du secteur bancaire. Pour l’ensemble des métiers, l’inscription est une maison de 64% à 560 millions d’euros. Une évolution qui reflète la position du groupe BPCE dans l’économie et la politique de provisionnement prudente du groupe, a publié le directeur de la banque dans un communiqué. Les résultats sont élevés, la progression de 12% sur un semestre rythmé.
Moment de charnière
Alors que le groupe prend la route avec ses projets, avec une série d’annonces, son nouveau stratégie stratégique « Vision 2030 » ce que vous pouvez également faire, c’est diversifier vos motifs de croissants. « Au cours du trimestre économique, nous avons annoncé quatre projets d’acquisition et un partenaire structurel pour le paiement avec BNP Paribas », précise Nicolas Namias. Un protocole de convention avec signature de la Société Générale en représentation de la SGEF, avec une dette caution de 1,1 milliard d’euros, est un projet d’acquisition majeur pour BPCE. Un groupe qui a repris vingt-deux Nagelmackers, la plus ancien canapé privé belge.
La banque est confortée par les bureaux de notation et la reconnaissance pour une situation financière solide, pour la direction. « L’agence S&P vient de remonter deux crans notre notre pour la porter au niveau « A+ », un niveau qui n’est désormais plus celui des quatre principales agences », déplore Nicolas Namias. Le groupe, en somme, est mobilisé par les Jeux Olympiques, ce n’est pas un sponsor majeur. Parmi d’autres effets attendus, BPCE jetez un oeil à la « banque des sports » avec « les ambitions en matière de financement des infrastructures sportives, des sportifs et des entreprises du secteur des activités ».