Une destruction incontrôlable ? Il n’a pas réussi à utiliser une courte phrase du président Luiz Inácio Lula da Silva lors d’un long entretien avec le dollar pour accélérer la valeur du dollar, de la monnaie locale, du dollar et de l’euro. Lors du débat sur la politique budgétaire, Lula a de nouveau accepté de réduire les dépenses publiques.
« Le problème n’est pas de réduire les dépenses publiques. Je le sais, à moins qu’il n’ait vraiment besoin de réduire les dépenses ou d’augmenter les recettes fiscales, comme il l’a déclaré. Il admet qu’il pourrait reconsidérer ses dépenses « exagérées » sans se laisser influencer par les pressions du marché. En fin de journée, le dollar a chuté de 1,2% par rapport à sa juste valeur, démontrant l’évolution des prix du jour grâce aux changements majeurs opérés par Bloomberg.
Lula n’a pas l’intention de tenter sa chance. Il a multiplié les déclarations hostiles sur le marché et à la banque centrale, ce qui interrompre la baisse de ses aux d’intérêt. « La décision de la Banque centrale a été d’investir au profit du système financier, au profit des spéculateurs qui gagnent de l’argent avec leurs intérêts. C’est pourquoi nous voulons investir dans la production », a-t-il déclaré. Il est également en guerre contre le président de la Banque centrale, Roberto Campos Neto, nommé par l’ancien président Jair Bolsonaro.
Ibovespa dans le bain
Et à un moment donné, la valeur du plus de 15% est appréciée, et la Bourse de São Paulo une augmentation de 8,5% après le début de l’anniversaire. Une sanction nette, même si les capitaux sur vos vêtements des Etats-Unis par des intérêts nets plus élevés que ces dernières années. « La bourse est à un niveau très bas en dix ans d’histoire… Le problème budgétaire n’est pas si grand et le sujet des discussions entre la banque centrale et Lula n’est pas si grand. Profitez du temps libre des investisseurs », déclare François Décamps, directeur de la boutique financière Caravel Corporate Finance à São Paulo.
Après avoir concédé le bénéfice du doute à Lula et à son équipe économique et pragmatique, les investisseurs ont commencé à adopter une attitude sceptique alors que le gouvernement poursuivait ses propres objectifs de politique budgétaire. Le retour à l’excellent budget primaire (avant paiement des intérêts en jeu), initialement paraphé pour l’année suivante, a été constaté en 2026. « Je regrette que le PT (Parti des Travailleurs de Lula) ait pris au sérieux la question budgétaire », a déclaré Luis Stuhlberger, qui gère le fonds Green Assets.
« Tous les obstacles créés par les gouvernements précédents ont désormais disparu et menacent de ruiner. Les investisseurs ne seront pas dérangés par cela, c’est sûr ! », dit François Décamps. Certains progrès ont été enregistrés, notamment sur le front de l’inflation (autour de 4%). Mais le sentiment général n’est qu’un grande frustration. « Le Brésil est confronté à de nombreux problèmes auxquels le reste du monde est confronté depuis 20 ou 30 ans », a déclaré Gustavo Cruz, responsable de la stratégie de la société d’investissement RB Investimentos.
La frustration est une grande récompense pour les investisseurs qui tiennent compte du fait que Lula semble avoir une politique pragmatique similaire à celle de son premier mandat (2003-2006). Si vous êtes sûr que la confiance est modérée, le pragmatisme prend fin pour l’importateur.