La cérémonie de quatre heures animée par Thomas Jolly s’est déroulée devant plus de 300 000 spectateurs et 22 millions de téléspectateurs et a été pleine de surprises. Stars internationales, athlètes mythiques, monuments magnifiques… Le spectacle se perd dans une grande splendeur et sans aucune proximité. Retour sur cette soirée à temps avec des images.
Le porteur de la flamme, caché au visage tout au long de la cérémonie, en route vers la tournée de la Cène des Toits de Paris, en passant par le musée d’Orsay au Théâtre du Châtelet en passant par Notre-Dame pour reconnaître la flamme directement au Trocadéro, Nous recevoir des invitations de marques et d’athlètes.
Environ 320 000 spectateurs à travers l’UE ont eu la chance de vivre la cérémonie derrière les quais de Seine, hauts et bas, ou derrière les balcons privés du Long du Fleuve, et ont eu toute leur chance jusqu’à la soirée.
La superstar américaine Lady Gaga a donné le coup d’envoi du Bal musical avec une interprétation en français de la chanson « Mon truc en plumes » de Zizi Jeanmaire du Square Barye, en 4t Arrondissement. « J’étais très éclairée, je voulais jouer les JO de Paris (…) et chanter une chanson française particulière, une chanson qui soit un hommage au peuple français et une histoire de l’art, de musique et de culture impressionnante », Commentaire d’un artiste sur X
La cérémonie fut célébrée par un certain Monsieur Clément, et la Pluie jeta les Flots juste avant un combat contre l’autre. Certains éléments de la cérémonie ont été retirés en raison de la météo, car ils ont été essentiellement réparés après la réunion du comité organisateur.
La chanteuse Aya Nakamura, qui s’est produite plus d’une fois dans le monde, a réalisé une performance remarquée à l’Académie française et au Pont des Arts, interprétant un medley de deux titres : « Pookie » et « Djadja ». – et deux reprises de Charles Aznavour, « Ma bohème » et « Pour moi formidable ». Le tout secondé par soixante musiciens de la Garde Républicaine.
La chanteuse mezzo-soprano Axelle Saint-Cirel apparaît lors de la cérémonie comme interprète de la Marseillaise au Grand Palais.
La tension a duré jusqu’à la dernière seconde. Les athlètes Florent Manaudou (Nation) et Mélina Robert-Michon (Lancerin) ont récemment décidé de porter le rideau de la délégation française jusqu’à la descente sur la Seine.
Il y a des chances qu’il y ait plus de scènes lors de la soirée. Le public a entendu le chanteur français Philippe Katerine, tout juste terminé et en bleu, parodier Dien Dionysos. Après avoir diffusé son titre mythique « Louxor, je l’adore », l’artiste amateur de provocations a interprété « Nu » devant des millions d’acteurs de télévision à proximité.
Peu avant la fin de la cérémonie, une mystérieuse cavalière en armure, descend la Seine sur le dos d’un cheval mécaniquement éclairé. C’est l’officier de gendarmerie Floriane Issert qui a incarné cette personne. Elle dispose d’une salle de bains privative et dispose d’un rideau olympique sur le Trocadéro.
Apothicaire de la cérémonie, au pied du Torcadéro, la Tour Eiffel s’illumine l’espace de quelques minutes, au cœur, de la magie « Surnature » de Cerrone.
La star du football français 1998, Zinédine Zidane, faisait partie des derniers porteurs de la flamme olympique à l’issue de la cérémonie. Le lance-flammes est devenu obsolète pour le champion de tennis Rafael Nadal.
Un navire prestigieux sur la Seine jusqu’à la fin de la fête pour renforcer la flamme olympique face au centre de la capitale, avec à son bord le champion de tennis espagnol Rafael Nadal, le grand sprinter américain Carl Lewis, la gymnaste expérimentée Nadia Comaneci et le tennis pur. la joueuse Serena Williams.
Pour clôturer cette belle soirée, deux athlètes français, le judoka Teddy Riner et l’ancienne triple médaillée olympique en athlétisme Marie-José Pérec, tous deux participants sont arrivés au tournoi olympique à 23h15. C’était dans le jardin des Tuileries, c’était en dehors de Paris, ou bien il y restait pendant toute la saison.