Après une année noire pour les fusions et acquisitions en France, Lazard est placé en tête du classement Refinitiv (LSEG) des fusions et acquisitions pour les six premiers mois de 2024 (à partir du 1er janvier 2024).euh janvier au 27 juin 2024). La banque d’investissement Boulevard Haussmann a placé 38,2 milliards de dollars de transactions conseillées au cours des six derniers mois. C’est près de 15 milliards de plus que le chiffre total de l’année 2023 qu’elle a atteint, première de la scène.
Les équipes de Lazard sont conseillées Xavier Niel pour le rachat de l’opérateur télécoms en Amérique Latine Millicom pour 9,9 milliards de dollars et Saint-Gobain verse le rachat de 2,9 milliards de dollars du fabricant australien de matériaux de construction CSR, ou de Sanofi pour la caisse enregistreuse Aventis la biotech américaine Inhibrx à 2,4 milliards. « Le premier semestre est à l’image de la fréquentation : une reprise progressive de la marche », explique Guillaume Molinier, directeur général de son entreprise.
« Seuls les meilleurs parents participent »
Du côté de l’ensemble du lieu, les six premiers mois de 2024 génèrent un intérêt de 26% sur le premier semestre de l’année écoulée, d’une valeur de 82 milliards de dollars. Un montant qui sera représenté au-delà des deux niveaux de l’ensemble de l’année 2023. Mais la dynamique reste forte : le nombre de transactions lors de ce premier exercice est inférieur à celui d’il y a quatre ans (1 060).
« Nous commençons l’année avec beaucoup d’optimisme, même si les commandes prennent plus de temps à être finalisées en raison de la valeur des achats des acheteurs et des vendeurs. En réalité, il ne s’agit que des meilleurs actifs du marché, menés par Pierre Castaing et Pierre Drevillon, respectivement responsables des fusions et acquisitions et patron de Citi Banque de France.
Citi remonte la pente
Goldman Sachs se rapproche de la deuxième place derrière Lazard avec 32,6 milliards de dollars de transactions. C’est aussi 50% de plus par rapport à la série de l’année 2023.
Sur scène, BNP Paribas réalise le semestre plus le second semestre 2023 avec un volume de 24,9 milliards de dollars, tandis que la Société Générale, quatrième avec un classement de 19,5 milliards de dollars. Les deux banques françaises ont coté le fonds canadien Brookfield pour l’achat Neoen, spécialiste de la rénovation de Jacques Veyrat, verser 6,9 milliards de dollars.
Le fils de son fils, JP Morgan, a été réalisé et à six mois quasiéquivalent du dernier annuel (18,3 milliards). Le pays américain est devenu un endroit où le rapport s’est amélioré et s’est installé dans la bonne position en 2023.
Dixième l’an dernier, sa rivale Citi remonte la pente à grande vitesse après avoir accompagné la retraite de la cote très disputée spécialiste de la musique en ligne Believe, celui l’expert des courant électrique Allego par Meridiam et Jacques Veyrat sur Néoen. Bilan, la banque américaine est un fait plus que le doubleur soutient les transactions en six mois par rapport à la deuxième année de 2023, avec 17,7 milliards de dollars, et les six anslieu du semestre.
Grande habituée de la scène, Rothschild a créé la surprise avec 4,7 milliards de dollars de deals au cours du semestre, une nouvelle chanson. La banque familiale est plus active que Lazard dans un certain nombre de fusions et acquisitions d’entreprises (44).