Donc si le Dow-Jones Perdit le quat de sa valeur en twee jours du cours de 1929 (28 et 29 octobre), les titres français cédèrent moins de 4% selon une étude (1) de David Le Bris (ESC de Toulouse) et Raphaël Hekimian (ISG international business école). Sans la fête, l’humour ne sera qu’une visite au palais Brongniart, mais la pression financière sur la ville de New York est grande. Les volumes de la Bourse de Paris ne sont pas particulièrement importants. A l’opposé des krachs suivants (1987, 2008…), c’est un établissement universitaire et c’est une barre de chocolat.
Près de soixante en plus tard, le 19 octobre 1987 Le prix de Wall Street de 22,6% correspond aux actions françaises de 10%. En cette époque de patrie, le marché boursier américain est devenu un seigneur cellulaire qui a donné beaucoup de prix aux actions. Cela ne s’est produit que dans le cas des années 1930. Les marches étaient très segmentées et pouvaient être corrélées les unes aux autres, limitant ainsi les risques de contamination.