Le succès des JO de Paris a-t-il fait évoluer la politique climatique, notamment parce qu’elle était dominante dans les semaines suivantes ?
Je ne le crois pas. Les jeux, qui constituent une vérité indéniable, n’ont aucun effet direct sur le climat politique. En somme, un effet diffus, comme la Coupe du monde de football de 1998. C’est un événement resté dans la mémoire nationale, marqué pendant une génération. Il y a une aura de jambes, mais il n’y a pas de changement politique immédiat. JO vient d’adapter ses horaires de travail et de l’oxygène à Emmanuel Macron, il a la permission de remporter le champion et cherche des solutions pour retrouver une personnalité comme Matignon.
Emmanuel Macron a été accusé de certitude lorsqu’il a donné rendez-vous devant les sportifs français issus de la phase de relance politique. Est-ce que cette revue vous convient ?
Le chef a reçu une image négative lorsqu’il a été installé dans son avis ! Je ne pense pas que cette critique ait beaucoup d’impact. Actuellement, il est très présent à tous les grands événements sportifs post-électoraux. C’est une communication constante. Les Français connaissent l’amour du sport.
Très abordée avant les Jeux, la maire de Paris, Anne Hidalgo, sort-elle du confort ?
Confortée, je ne sais pas. Un choix sûr car le bon ressenti du jeu est très positif pour elle. Ils ne sont pas actifs, ils sont chargés de la publicité. Après toutes les critiques qui n’ont pas encore collé au thème de l’objet, il l’a été pour tous ceux qui l’ont déjà fait, et ils devraient être présents en 2026.
La cérémonie d’ouverture sur fond de Polémiques. La vitesse extrême est au bord. Gratuitement?
Ces attaques ne sont pas écrasantes. Elles sont derrière nous. La très bonne organisation du jeu a joui d’une grande popularité et du succès sans précédent des athlètes tricolores dans les différentes situations dans lesquelles ils ont expérimenté ces pôles.
Une fois la fête de mariage terminée, le président avait mis tellement de pression sur lui qu’il n’était plus aussi prompt à recevoir la visite d’un premier ministre.
Le temps de travail est payant. Nous avons besoin d’une série de jeux et promettons de prendre une initiative que nous pouvons réaliser. Entre dimanche soir et la fin août, il devra, selon moi, avoir bougé. Avant le début des Jeux Paralympiques le 28 août, il lui était difficile de ne pas avoir peur. Deux mois plus tard, elles se sont tenues virtuellement après le deuxième tour des élections législatives attendues. Le gouvernement n’arrive pas à poursuivre les choses plusieurs semaines plus tard. J’ai déjà préparé et pris les décisions concernant le projet financier, qui aura généralement lieu à la mi-septembre.
Emmanuel Macron a-t-il eu beaucoup d’options pour l’ancien gouvernement de l’ONU ?
Selon l’hypothèse de la candidate du Nouveau Front populaire, Lucie Castets, pour Matignon, les trois autres options sont : un gouvernement centriste, un gouvernement centriste ou un gouvernement technique. En plus de ces trois options, vous disposez d’une grande marge d’action. Une technique gouvernementale n’est pas une fatalité. L’option intermédiaire est plus plausible à ce stade, tant la voiture qui sépare un parti du PS du Nouveau Front populaire semble compliquée.
Le candidat est-il actuellement là pour Matignon ?
Xavier Bertrand n’est plus là. Il avait de l’expérience, dirigeait une grande région, était ministre, était compétent, possédait un certain capital politique et une attaque dans la vie parlementaire. Il manquait évidemment l’image à partir de laquelle quelqu’un recevait une réponse directe, ce qui est un avantage. Bernard Cazeneuve, pas au courant, n’a correspondu que peu avant la décision politique, bien qu’il ait été nommé à Matignon et ait effectué un travail de reconnaissance, avec une certaine certitude que les services secrets étaient arrivés peu avant les législatives attendues.