C’est en partie ainsi. Chaque jour à nouveau sur la planète et les antennes. Il travaille également comme fief de Tourcoing dans le District Nord et est simultanément dirigé par le ministre de l’Intérieur. Il était toujours très présent. Dans cette première campagne et dans d’autres au cours desquelles les campagnes électorales sont au centre. Gérald Darmanin participe à la deuxième catégorie. Il faut craindre que l’un des – rares – kilos de la majorité présidentielle ne souffre également le 7 juillet. Dans le paysage politique, cela sera sans aucun doute toujours pris en compte.
Selon une enquête Ifop publiée pour « Paris Match » ce Mardi, le ministre de l’Intérieur se verra accorder un crédit pour les premiers 42% d’intentions de vote – c’est beau en juin 2022 – contre 28% pour le candidat RN Bastien Verbrugghe et 24% pour le candidat NFP. Leslie Mortreux (LFI), qui avait obtenu deux voix au second tour, a recueilli plus de 57 % de ses voix. Il sera limité à la seconde.
Pas très « nouveau monde »
Gérald Darmanin a écrit sur les réseaux sociaux : « Je ne suis pas fou », il prépare la série, maintient sa ligne, qu’il qualifie lui-même de « gauliste social », et sa manière de faire de la politique, qui n’est pas très « nouveau monde », mais par souci d’ordre, selon les termes corrects de cette loi. transformation, « moins de visibilité, plus de bistrots ».
C’est vrai comment ce Mardi 1er, l’Europe est à bord pour dissiper la plupart des erreurs. « Si quelqu’un est perdu, ce n’est pas à cause d’une dévastation populaire (…) ce savoir doit être caché pour des raisons personnelles », indique le rapport. « Évidemment, nous avons contribué en ne comprenant pas en français ce qui nous est arrivé, la vie sera meilleure. » Difficile de ne pas se laisser distancer par Emmanuel Macron, qui aujourd’hui. dans un podcast rassurez-vous, au soir du second tour des législatives c’est « la responsabilité de la personne » mais « la responsabilité des Français ».
Les élites qui ont décidé de faire sécession
Gérald Darmanin a assuré sans réserve qu’il était « loyal », contrairement à certains qui, dans l’opinion majoritaire, critiquaient un chef de l’Etat très crédible… « Ils n’ont rien à dire, ils n’ont rien à dire sur ce que je dois faire, j’ai très peu de choses à dire. beaucoup à Tourcoing en août dernier beaucoup de critiques », et souriait en sortant de la pension politique qui les organisait avec les regards suivants pour dire : « La politique n’a pas de valeur sociale, elle n’a rien de ce qu’on entend, elle n’a rien de ce qu’on entend : « Par exemple, les décisions du pouvoir judiciaire sont exclues. » Et qu’en est-il des salaires ? Comme une petite revanche.
Et il continue d’écrire son diagnostic, estimant que « les élites ont subi une sécession (…) le peuple qui gouverne et habite le peuple ». Alors je vous dis tout de suite qu’il ne va pas rompre, et je comprends : « Celles qui vivent avec 1 200 euros par mois, ces mères qui n’ont que des enfants, celles qui vous veulent du mal, sont toutes seules, sans aucune interrogation. » Des feuilles de calcul Excel sont nécessaires pour visualiser. » Un nouveau prix de la distance.
Celui qui jadis avait trouvé Marine Le Pen « trop molle », disait ce Carnaval « pas cet argument de « Trier les Français » le Rassemblement National, tous affirment leurs positions : ils sont pour l’oppression le droit au soleil à Mayotte et en Guyane. De même que les ardents Jean-Luc Mélenchon et LFI, qui « manipulent les questions sociales mais ne respectent pas les musulmans. Ils gouverneront les musulmans si je gouverne les Français ». »
« Le vice rend hommage à la vertu »
Il a quitté le ministère de l’Intérieur pour des raisons – que ce soit dans l’opinion majoritaire ou dans l’opinion majoritaire – et a commencé à organiser son bilan quadriennal à partir de quelques chiffres. Comme une satisfaction automatique. Alors bien sûr, j’affirme que l’aura des élections est pour les « meilleurs agriculteurs », mais je dis aussi que la loi sur l’immigration Je dois d’abord penser aux plans quinquennaux, tels que proposés dans l’approche proposée, et au fait que cela n’est pas possible « en partie parce qu’une partie de la loi parlementaire ne veut pas nous aider ». Il lui a donné du luxe, était très amusant et pensait qu’il était un homme, pas Jordan Bardella, qui appréciait qu’il ait bien préparé JO. « C’est un petit hommage à la vertu du péché, je suis très heureux de voir ce que vous dites quand vous êtes un bon ministre de l’Intérieur. »
D’ailleurs, Gérald Darmanin nous attendait ce week-end lorsque nous nous sommes retrouvés sur LCI après avoir couché ensemble. avec Édouard Philippe Dans son fief de Tourcoing, il révélera : « Nous construirons toute une série de rêves sélectionnés, sans douter que nous pourrons commencer par eux en 2027. Reconstruire avec une orientation qui s’exprime clairement après une enquête risquée de la droite, une approximation. » , « beaucoup de mal et beaucoup d’orphelins ».