Il s’agit du premier crash test de la nouvelle Assemblée nationale. Ce jeudi, la première séance de la 17ème loi Il fait ses débuts au bout de 15 heures et est ordonné président du Palais-Bourbon après l’élection de la chorale. En temps normal, il y a deux blocages dans l’écriture et le processus formel qui est caché dans le camp du président vaniteux.
De plus, cette division annuelle en trois blocs de la Chambre – 182 pour le Nouveau Front populaire (NFP), 160 pour le camp d’Emmanuel Macron, 143 pour l’Assemblée nationale et ses alliés – est totalement inactive, déchirant l’objet incertain du vote.
Des négociations sans fin
Cette élection est la capitale d’Emmanuel Macron : il participera à la « structuration » des forces armées au Palais-Bourbon, comme il l’a dit le 7 juillet lors du deuxième tour de la législature, afin d’avoir une vision claire sur la suite. « Le choix des populations locales apparaît comme une alternative majoritaire qui doit être réciproque de la part du Nouveau Front populaire », a estimé un parlementaire de son camp.
Elle est contestée par la Gauche et se voit confier la présidence de l’Assemblée nationale. Au terme de son parcours, après d’interminables négociations, le communiste André Chassaigne est désigné comme l’unique candidat de son camp. Profil consensuel, 74 ans, député depuis 2002. Comme il avait de bonnes chances avant la première tournée, il était menacé d’une éventuelle alliance entre les macronistes et les républicains.
La liste finale des candidats a été finalisée car aucun autre candidat n’est possible pour eux. Présidente de Côté Camp, Yaël Braun-Pivet, vice-présidente, en fonction dans sa vie de la Renaissance, Même si la candidature est incontestable. Il incarnait la continuité – il était comme un point faible dans le jugement du législateur – et représentait aussi une forme d’opposition à Emmanuel Macron, qui après la dissolution ne pouvait plus être nommé au nombre de députés de la majorité.
« Et si je vous présentais aux députés après des élections qui ne sont plus valables ? » Certains ne sont pas d’accord car ils n’arrivent pas à convaincre la députée Annie Genevard d’être interrogée sur France Inter. Un candidat républicain temporaire qui a récemment travaillé pour la vice-présidence. Étonnamment, c’est son collègue Philippe Juvin qui a décidé de voir la chorale.
La présidente du camp n’était même pas celle de Naïma Moutchou (Horizons), qui était également sur scène. «Nous rejoignons l’équipe de cette première tournée qui représente notre voix», a expliqué le président du groupe Horizons à l’Assemblée, Laurent Marcangeli. Le modem n’a pas le choix ce A la fin de mon parcours, je serai modérateur ou non-candidat.
Au RN, l’ancien vice-président de l’Assemblée nationale, Sébastien Chenu, qui a officiellement confirmé sa candidature, a tout planifié durant son mandat jusqu’à ce qu’il termine après la première tournée. En 2022, Sébastien Chenu abandonne le cap après le premier tour afin d’assurer à Yaël Braun-Pivet la majorité absolue des votants au deuxième tour.
En 2024, il y a de fortes chances que le futur président fasse trois tournées, soit une majorité simple, relativement suffisante, c’est-à-dire des traités intenses depuis plusieurs jours.
Yaël Braun-Pivet, qui s’est battu dans son camp pour lutter pour les leviers de l’Élysées et de Matignons, a cherché plus de sources et cherché un scénario alternatif pour faire la première tournée de son groupe Renaissance de 99 députés pour consolider sa candidature au View. de la Trinité. Sinon, ils sont fragiles.
A ce jeu, le député du petit groupe LIOT, Charles de Courson, attendait pour contester un passage par le rejet de Yaël Braun-Pivet. Bien sûr, il s’est déguisé sous le nom d’un trio dans la voix de la gauche et dans les cellules d’un parti du député RN pour rencontrer le prochain président. Le vote a lieu au lieu de bulletins secrets qui exercent toutes les libertés pour leurs députés. L’élection du député de la Marne, assiégé depuis 1993, a été un signal très faible pour l’envoyé du camp, Emmanuel Macron, confronté à l’impossibilité de construire une majorité.