Les dernières années de l’année ont commencé avec le private equity européen. Nouveau, les fonds sont destinés à trier les chèques du carnet. Selon Pitchbook, valorise nos cibles un peu plus les douze années d’Ebitda (12,1 du résultat opérationnel) des dernières années en 2023 (10,2 du résultat opérationnel). « Les multiples sont une nouvelle histoire pour la suite financière et les anticipations des croissants. La bascule de l’environnement vis-à-vis d’une marche de vendeurs », constate le fournisseur de données.
La tendance est que vous n’avez pas à vous soucier des méga-offres. Le prix des PME dans la zone euro est très bas. Après une répétition de 9,4 fois pour 9,1 entre la fin de l’année et mars, les paiements multiples pour le fonds recevront une attention de 9,3 pour le dernier trimestre du deuxième trimestre, selon les chiffres mensuels d’Argos. Une maison avec une note claire du rebond du financement des acquisitions par celui-ci (LBO).
Regardez François Jerphagnon, membre du comité exécutif d’Ardian et du directoire d’Ardian France, directeur des mid-caps de la société d’investissement. Quant à nos très bonnes activités actives, le prix n’est pas élevé, mais le traitement est un bonus d’accélération en plus ».
Prix importants
Si vous en avez l’opportunité, vous pouvez proposer le fonds à un prix plus élevé, en tenant compte de l’indice Argos. Désormais, les prix n’ont plus d’importance depuis 2018. Les offres sont supérieures à 15 de l’Ebitda et les cellules inférieures à 7 de l’Ebitda sur le prix des transactions signées au deuxième trimestre.
À l’autre extrémité du fonds, les acquisitions industrielles sont extrêmement judicieuses, avec un prix ne dépassant pas 8,7 % de l’Ebitda. Regardez Argos si vous souhaitez capturer l’essence de l’opportunité à bas prix pour réduire les synergies.
Et tout de même, en France, « à mesure que la date passe, l’environnement politique n’est pas sans effet sur le prix et les conditions financières », constate François Jerphagnon.
Témoin, la logique spécialiste tricolore d’Orisha et investir dans le fonds américain Francisco Partners pour 1,8 milliard d’euros, ce qui équivaut à 20 % de son Ebitda. Et nos activités dans le domaine des entreprises taille-moyenne sont réalisées à 70%-80% en France. Par exemple, Sanofi a obtenu son EBITDA il y a à peine 17 ans.
Globalement, Louis Godron, associé-gérant d’Argos Wityu, estime avoir fait un pas en « décote France ». « La probabilité politique est extrêmement probable, mais il n’y a pas de force majeure. Les PME sont par nature plutôt protégées, à la différence des grandes multinationales dans type de contexte». «Il n’y a aucune raison de se joindre à une marche française devant un rapport venu d’Italie ou du Royaume-Uni», juge-t-il.