La méthode d’inhalation est similaire à celle de la cocaïne. Ils sont au service des autorités compétentes en matière de prévention et de santé publique. L’énergique « Sniffy » est parti lui dire au revoir et a été publié en juillet dans le « Journal officiel », signé par la ministre de la Santé, du Travail et des Solidarités commissaire, Catherine Vautrin.
« Sniffy » a refusé de faire des économies car il n’était pas sans Polémique et n’était vendu sur Internet et à certains clients qu’il y a quelques mois.
« Protéger les jeunes générations »
« Mon Dieu, c’est une habitude très vicieuse, au point qu’on commence à renifler, on voit que c’est une personne addictive et le privilège sur les produits illégaux est évident », a déclaré Catherine Vautrin juste avant la publication de l’auteur. Le 3 juin, j’ai contacté la Commission européenne pour demander l’autorisation d’imposer une période d’interdiction sur le produit. La demande nécessite une réponse positive.
Le Ministre délégué à la Santé, Frédéric Valletoux, m’a promis de livrer ce produit riche en énergie d’ici la fin de cette année. «C’est mon devoir de protéger les jeunes générations», at-il souligné sur
Après cette date, les produits doivent être fabriqués de telle manière qu’ils contiennent des « principes actifs ayant un effet stimulant sur l’organisme, notamment sur le système nerveux » et les produits destinés à être « consommés par voie intranasale » Vous êtes (…) avec la consommation de gens étonnés et pris dans la confusion.
Un examen des toxicomanes
« Sniffy » contient d’autres additifs comme la L-arginine, un acide aminé, la créatinine, la L-citrulline, la taurine ou encore un ajout de maltodextrine. Si ces substances sont légales, la méthode d’inhalation est remise en question par les toxicomanes et condamnée par les représentants des professions supérieures comme les policiers syndicaux ou les employés de bureau.
Cette interdiction intervient après l’implantation de la production de cocaïne en France. Selon une étude de l’Observatoire des Drogues et des Tendances Additives (OFDT) de juin 2023, la consommation de cocaïne (9,4%) était il y a un an en 2023. contre 5,7% en 2017.