L’artificialisation des terres se déverse en France. En 2022, 20 276 hectares de propriétés artificielles ont été construits, dont le Centre de recherche et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et la gestion (Cerema), qui dépend du ministère de l’Environnement. Un achèvement des superficies extensives par rapport à l’année précédente (21 011 hectares).
Les interférences artificielles sont « la principale source d’inquiétude pour la biodiversité sur Terre », prévient la Banque de France. Dans une étude récente sans rapport avec la construction de bâtiments, l’Institution Monétaire a suggéré que le commerce et l’industrie étaient constitués de deux secteurs économiques, ce qui a également contribué à l’exploitation artificielle des saumures dans le pays. La construction de bâtiments dédiés à l’activité économique représente un quart de la superficie artificialisée en France au cours de la dernière décennie (environ 5 000 hectares par an).