Une discrétion à toute épreuve. ça fait longtemps après la publication de ces résultats trimestriels jeudi 1euh pendant la fête il y a une annonce spectaculaire : avec un projet d’acquisition d’AXA IM et un partenariat à long terme avec AXA, BNP Paribas avec un montant de 5,1 milliards d’euros sur la table pour de la grandeur dans la gestion des activités. Sans opérations de groupe majeur à l’avenir, il est possible de représenter Fortis en Belgique et au Luxembourg.
A l’occasion de ses débuts au CAC40, l’annonce suscite un véritable enthousiasme. Mais c’est structurant. « Le projet majeur, générateur de croissance à long terme, constitue la base du développement de notre groupe », commente dans un communiqué Jean-Laurent Bonnafé, administrateur général de BNP Paribas.
« Nous serons champions »
La création d’une banque est plus puissante qu’un métier de consommateur et de fonds propres, qui peut équilibrer les activités des banquiers classiques, justement plus gourmets du capital. Elle fait partie depuis longtemps de la catégorie des activités actives, une entreprise qui a une dimension européenne. Dès l’ouverture du port, une nouvelle opération sera créée qui ressemble à 1 500 milliards d’euros d’activités sous gestion.
« More créerions qui est le leader européen de la gestion d’activités de long terme au service des assureurs et des fonds et institutions de pension, quels sont nos développements avec la puissance d’AXA IM complémentaire de BNP Paribas », assure une entreprise avec « Echos » Renaud Dumora, Directeur Général Adjoint de BNP Paribas, à la tête du pôle IPS (« Services d’Investissement et de Protection »).
L’opération est importante sur le plan numérique et a un impact de 25 points de base (0,25%) sur le sacré ratio de solvabilité de BNP Paribas, qui s’élève à 13%. Prouvé par les compagnies d’assurance, l’avantage du « compromis danois », les analystes avisés de Citi, un avantage prudentiel. La banque peut procéder à une reprise et idéal pour votre trésor de guerre si vous récupérez l’American Bank of the West, vous recevrez 110 points de base (1,1%) de votre capital à titre de « redéployeur ». Le groupe étudie ce que signifie réinvestir la moitié.
Une stratégie d’enjeu
La « fermeture » est « présente à l’horizon 2025 », précise le groupe. « C’est une belle opération d’intégration. Nous sommes reconnus pour ce savoir-faire », souligne Renaud Dumora.
En fait, le groupe est un opéra de grandes intégrations, avec celle de Fortis en 2009, ou celle de BNL en 2006, en Italie. BNP Paribas a commencé à lancer des acquisitions bancaires dans la zone euro, et BNP Paribas a lancé des plateformes industrielles et des technologies qui lui permettent d’attirer des clients et d’être grand dans le nouveau monde : c’est un exemple de ce genre d’approche commerciale que la banque d’investissement du groupe ( CIB) a une position dominante dans les services aux hedge funds (« Prime services »).
La logique est une application sur IPS. Après l’acquisition d’AXA IM, IPS a rejoint les mouvements internes, tandis que les activités du fonds de fonds Cardif nécessitent l’aide du gestionnaire d’actifs interne, ce qui n’est pas le cas dans cette affaire. L’opération est réalisée par un grand groupe d’activités privées et le rapprochement avec le déjà eu lieu : début 2023, elle est revenue dans une grande structure pour les dédiés de cette classe d’activités.
L’intégration présuppose qu’il existe un processus régulier et social, avec des procédures de consultation aboutissant à une conclusion positive. AXA IM a versé 2 800 salaires et BNP Paribas Asset Management 2 100.