Une âme sœur pour les banques françaises. La nomination de Michel Barnier au poste de Premier ministre – un choix assuré pour les marches, avec des questions restantes et du suspense – un salut des investisseurs : les trois grandes sociétés bancaires, BNP Paribas, Société Générale et Crédit Agricole SA, en fin de séance de jeudi à la boom , respectivement les 2,7%, les 2,4% et les 1,2%, avant le reculer vendredi.
« Il y a un potentiel de reprise pour les banques françaises si l’environnement politique se stabilise », confirment les analystes de Mediobanca, avec un commentaire qui rend la nouvelle prudence exacte. D’un côté, le gouvernorat de Barnier a une solution devant les tribunaux. Les incertitudes n’étant pas levées, les risques de censure et de motifs sociaux sont élevés, permettant aux auteurs de s’exprimer.
