La bonne nouvelle que guettaient les banques Dès le début du mois, la production de nouveaux prêts immobiliers atteint un niveau supérieur à un an plus tard, tandis que les émissions émises sont vendues à la Banque de France. Les banques ont décaissé 11,3 milliards d’euros de prix… pour 4,4 milliards d’euros plus le moment venu, l’activité pourrait être inférieure d’un point. Il n’y a que 6,9 milliards d’euros disponibles pour quelques prix. Il est raisonnable de parler d’une meilleure amélioration, alors que la production ne coûte que 8,6 milliards d’euros.
« Le constat du décor au deuxième trimestre 2024 sur la production de crédits sur l’habitat s’est confirmé (…). Si ce trimestre s’inscrit dans un contexte et un contexte favorables aux entrepreneurs, avec une cote de crédit et une cellule de prix nominaux de l’immobilier, la Banque de France sera honorée dans un communiqué.
Le saignement fait rage
Pas de question pour les parents le (re)voir immédiatement la vie en rose pour les banques françaises, puisque ces niveaux restent loin de leurs plus haut. Si l’on prend en compte les crédits (ce sont les parts des accords de déjà), il y a encore des repères orientés sur la base : les prix des crédits à la livraison sont également supérieurs aux nouveaux accords de crédit.
Tandis que le Kinderjuillet évoque le sentiment que l’on ressent l’hémorragie observée en 2023 une cloche et une bonne affaire : après la dernière décision de la BCE pour lutter contre l’inflation en 2022, la production de crédit en France est mise sous pression. Au contraire, après le dernier trimestre du premier trimestre, les banques ralentiront leur existence et augmenteront leur optimisme, pour des raisons positives.
La première est une politique commerciale commerciale : le garçon d’anniversaire est une banque d’occupation pour la reconstruction des banques qui gagnent rapidement de l’argent. Nos ressources (les liquidités collectées sur les marches et les dépôts de clients) sont salvatrices et le prix des crédits est conforme : conditions de danse, certains (comme BNP Paribas ou Société Générale) Nous supposons que c’est à ce moment-là que le levier est utilisé, et avec lui les marges sont recomposées.
Troubles politiques
Un autre problème est qu’il est difficile à présenter : une demande de réconciliation de la franchise, les faibles efforts commerciaux du secteur. Il se peut que les juillets profitent d’un rayon de soleil : avec l’inflation et les premières de la part des banques, les entrepreneurs en rentrant de leur bien, leur permettant d’envisager un projet immobilier. Les attentes en matière bancaire sont très demandées, les prix à la banque de France sont déterminés lorsqu’ils se concentrent sur la maison.
Reste à voir sices de juillet représente un retour de la tendance. De nombreux correspondants ont signé leur engagement à signer deux ou trois autres choses. Or, l’activité n’est pas très forte et est très immobilisée, une saison qui continue de croître plus calmement en raison des Jeux Olympiques et des troubles politiques.
Intervenant le 9 juin, « la dissolution est une dissolution totale du nouveau jour qui a façonné la décision de prix pour BCE pour une grande partie de la journée et encore une fois », fera une entreprise bancaire. Reposez-vous dans l’installation du Matignon de Michel Barnier pour surmonter les incertitudes des entrepreneurs et relancer nos projets immobiliers.