Après deux années de production libre, la propriété montre des signes de redressement, avec la dernière ligne de crédit/CSA entrant en vigueur au cours du deuxième trimestre. « Le point de retour du marché du crédit immobilier a disparu depuis longtemps en février, écrit l’Observatoire, principalement à cause du gaspillage des données qu’il transmet. Cette dernière édition, publiée mardi, marque également la dissolution de l’Assemblée nationale de juin. Ne réfléchissez pas trop aux effets des projets immobiliers français.

Or la situation s’est rétablie ces derniers mois. La production imprimée a augmenté de 12,2% en volume au deuxième trimestre par rapport au premier. Un message important sera à nouveau affiché au premier trimestre (par rapport à fin 2023). La situation est encore pire lorsqu’il s’agit du nombre de votes demandés dans la période en question.

« La route est partie, mais les lieux ne sont pas traçables », a déclaré Michel Mouillart, directeur de l’Observatoire. La production annuelle de prime reste axée sur l’eau, avec une décote de 25,5% par trimestre. Mais la dernière fois, dans la même période, la quantité d’eau constante était de près de… 41 % ! « La répétition est spectaculaire, mais avec un effet de fond très décevant. La glissade est belle et la glissade est printanière », relativise l’économie.

Un marché frappé par la vieille mousson

Il a commencé, mais il a fallu beaucoup de temps avant que ces signaux ne passent au green. Le marché repose principalement sur le marché ancien (ainsi que le marché neuf) qui représente les deux niveaux de l’immobilier. Les combats précédents ont recommencé à raconter de bonnes choses. Cadres et métiers générateurs de revenus les choses les plus importantes que font les premiers participants (qui ont acheté leur logement pour la première fois, NDLR), et qui bénéficient des prix observés ces derniers mois : cela se voit dans la solvabilité des acheteurs de ce segment de marché, qui s’améliore très rapidement : cette dernière représentait en moyenne 21 % de la valeur de la maison et représentait l’équivalent de 4,7 années de revenus. Un peu plus tard, le rendement a chuté de 22,6% et ne représente plus que 4,5 ans.

Il y a davantage de planètes qui s’alignent pour rendre ce redémarrage possible, mais les petites choses ne durent pas aussi longtemps. En tant que favori du gestionnaire de l’inflation, la BCE a payé ses impôts pour la première fois cette année, et les dettes sont belles et bien remplies d’un noeud : le prix moyen (tous frais confondus) a été ramené à 3,66% fin juin, après quoi un prix de 4,20% a été ajouté fin 2023. Dans le même temps, la part des prix convenus depuis plus de 20 ans se situe toujours à des niveaux stratosphériques (64,2% de la production), ce qui permet également aux clients de bénéficier de leurs achats.

Marges restaurées

Les fêtes auxquelles ils assistaient étaient également destinées à assouvir leur appétit de divertissement. Au bout d’un an, il est temps de restructurer leurs marges – grâce au nouvel environnement des tissus – ils peuvent être repassés et rendus à nouveau. « Avec la vague d’inflation, c’est aussi la première fois depuis trois ans que les tensions apparaissent vraiment positives », a déclaré Michel Mouillart. D’un autre côté, les coûts d’intérêt nominaux du crédit étaient juste en dessous du niveau de l’inflation. La situation s’inverse actuellement, ce qui fait du bien aux banques… ce qui fait peur à la demande alimentaire.

Les incertitudes politiques du moment ne profitent pas à Michel Mouillart. Pour les investisseurs, il est important de constater que la situation en France se dégrade car ses conséquences réduiraient les coûts de refinancement des banques françaises et mettraient en péril le crédit. Or, selon lui, ce risque n’est intégré que dans les modèles économiques et n’a donc plus à avoir d’effet tant qu’il est concret.

Au total, l’Observatoire connaîtra une tournée de production de 150 milliards d’euros en 2024, peut-être au même niveau qu’en 2023. Avant cela, il dépensera 165 ou 170 milliards d’euros par an.



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