Le symbole du développement économique du nord de la Nouvelle-Calédonie est la volonté politique des États indépendants. Et généralement la production de nickel est utilisée Koniambo Nickel SAS n’est plus représentant danser à six mois de la première de matières, Glencore.

Le jour même où a eu lieu la fin de son activité, il y a 31 ans, la plupart des 1.235 conflits de travail ont duré. Dans une situation de crise mondiale du nickel et foyer de la crise énergétique, Glencore, une action pour 49% du site, une décision de procéder à une séparation selon un procédé innovant, et un énorme mini-financier exceptionnel.

Après le début des travaux de construction en 2007, KNS a réuni un fonds de plus de 13 milliards d’euros. Une entreprise passive adoptée par Glencore, dans le cadre du plan d’action de la Société Minière du Pacifique Sud (SMSP), représentative des intérêts de la province Nord.

Les négociations ont deux entrepreneurs potentiels majeurs

Les salaires sont extrêmement élevés, les activités ne sont que mortes. Les négociations portent sur deux potentiels majeurs, à savoir la SMSP, dont l’objectif de maintenance est dans un premier temps : le transformateur du site minier au profit du développement de la province. Si vous dites qu’il y a un problème, la température des quatre pilotes est supérieure à 1 600 °C.

« Aujourd’hui, on dit »à bientôt » à KNS, pas adieu », assure Thomas Walolo, 35 ans. Il veille à l’hygiène et à la sécurité d’un grand chantier avec un projet qui « n’est jamais évolutif et autorise le développement de toute la région ». « Il a une aura de génération pour votre croire, l’existence, c’est tout ».

Sarah Eurisouke, 42 ans, ingénieur en environnement et salariée dans une entreprise du siècle dernier, est « fière de participer au projet de classe mondiale (…) de développement minier et métallurgique et de tenter de créer un impact minimal sur l’«environnement». C’est une partie du montant du salaire qui continue à travailler, montant principal pour les frais d’entretien et de sécurité. Elle y croit aussi : « ça va reprendre. Il le faut, pour la Calédonie, pour la région ».

Crise sociale

Avec 1 235 salariés directs et plus de 700 indirects, l’entreprise est une collectivité locale. La population a augmenté de 40 % après le début des travaux de construction en 2009. Le nombre d’entreprises de Voh, Koné et Pouembout, les communes environnantes, est passé de 2 500 à 2005 à il y a 4 000 ans.

Au vu des quatre cas, la reprise d’une activité métallurgique est impensable avant six mois. « Il y a plusieurs scénarios possibles. Un représentant d’une activité qu’une partie de l’entreprise considère comme si importante, affirme Alexandre Rousseau, vice-président du KNS.

A l’extérieur de l’usine, en raison d’une crise de force majeure sociale. «Si vous avez des questions sur les prochains», précise Ketty, caissière dans un entrepôt de Koné. « Beaucoup de gens est une fête. Et ceux qui restent achètent moins ».

Les salaires sur le chantier ne sont qu’un rappel à la marche du travail, mais plus de travailleurs au Cap, obtiennent la demande de travailleurs de la province du Nord, un enregistrement d’une maison d’enregistrement et une base d’offres sur le motif de la fièvre des ventes de sous-traitance. Ainsi, Cap emploie pas moins de 180 postes de pétitionnaires, pour un total de 1 700 personnes en recherche active d’emploi.

Avec l’AFP



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