«On n’a pas envie que la vie reprenne ses droits», par Lance Emmanuel Macron, lors d’ une réception à l’Elysée Pour commémorer et célébrer les professionnels mobilisés pour les Jeux Olympiques Le succès de cette quinzaine sportive . Et pourtant, dans la parenthèse des jeux référendaires, les politiques répéteront immédiatement leurs droits avec une constitution identique à celle de juillet : la question des élections législatives du 30 juin et du 7 juillet est dans une impasse.

Ce mardi, Gabriel Attal est bien sorti du bois. Le futur ancien Premier ministre – il a annoncé les choses immédiatement après la démission de son chef du gouvernement – ​​a adressé une lettre écrite aux groupes parlementaires et aux groupes parlementaires, à l’exception du RN et de LFI. Cette lettre détaille le « pacte d’action », peu diffusé en juillet et réclamé par la réparation des comptes publics au passage par la défense de la laïcité ou des survivants des agriculteurs. «Le mais reste d’arriver à une coalition», rappelle-t-on à l’Elysée, où on spère encore rallier la droite du Nouveau Front populaire (NFP) et la gauche des Républicains. Le saint patron de la Renaissance, Stéphane Séjourné, écrivain célèbre parmi les chefs de ses pairs.

Initiative contestée

Cependant, l’initiative n’était pas encore terminée. « Ce sont des personnes prioritaires comme un volet roulant. » La campagne NFP se déroulera en plusieurs tranches. « Et une obsession : continuer comme avant », adressé à X la députée Clémentine Autain. « Je ne savais pas pourquoi la politique était mauvaise et il fallait que je voie le consensus sur ce texte. « Quand on lui demande ce que devrait dire Gabriel Attal, c’est bien lui qui est gouverneur », a répondu le député socialiste Arthur Delaporte.

En tant que président du camp, les critiques ne sont pas vivantes. « Ce sont des propositions dans sa vie pour habiter le site, l’histoire n’a pas été sapée et la ville n’a pas été pénétrée », a déclaré le président dans un communiqué.

Pour Gabriel Attal, il s’agissait simplement d’une copie à la gauche. Lundi, Lucie Castets, candidate désignée du Nouveau Front Populaire (NFP) à Matignon, représentée par l’envoyé australien dans une lettre au Parlement, chose principale Représenté avec d’autres partis au Palais-Bourbon.

La semaine dernière, ce n’était même pas « son programme du PFN, parce que le programme du PFN, tout le programme du PFN », comme l’expliquait Jean-Luc Mélenchon lors de la deuxième tournée, « mais les membres du PFN ont été convaincus ». la construction de majorités parlementaires prenant en compte la constitution, l’écologie ou l’ajout de soins de santé et un « changement de pratique » à l’Assemblée. J’ai découvert que le sénateur Jean-Pierre Grand était incapable de recruter la présence de LFI dans un éventuel gouvernement.

Macron consulté

Le parti d’Edouard Philippe, « Horizons », était également sollicité à ses débuts dans la semaine, qu’il a convoqué « dans les trois derniers mois » pour rencontrer les groupes parlementaires, le Rassemblement national (RN), ses alliés en France et La France insoumise. (LFI) s’était organisée. A l’exception de « Stabiliser la vie politique de notre pays », Laurent Marcangeli, le patron du groupe au Palais-Bourbon, a choisi « Le Parisien ».

Au nom de Brégançon, présent à la villa après la conférence de match, Emmanuel Macron a prodigué ses conseils. Je serai reçu la semaine prochaine à Paris par les partis et groupes représentés au Parlement. D’après la précision que j’avais à Saint-Denis, le blocage est total et le problème reste encore flou.

La nomination d’un nouveau Premier ministre aura lieu à la fin de la semaine prochaine. Le choix de la cellule, à la suite de Gabriel Attal et Matignon, dépend du plateau de table. « C’est une personnalité qui peut immédiatement déposer une motion de censure », a apprécié dans l’entourage du président. Emmanuel Macron ne peut pas être nommé Premier ministre en exercice et il attend désormais les résultats de la législature, confiant de pouvoir aider les parlementaires le lendemain.

« Je suis Président de la République nomination d’un Premier ministre et je suis Premier ministre d’une ancienne coalition », a déclaré l’ancien ministre des Transports Clément Beaune. Les noms de Xavier Bertrand, ancien ministre de Nicolas Sarkozy et président de la région Hauts-de-France, et de Bernard Cazeneuve, dernier et actuel premier ministre de François Hollande, circulent avec insistance.



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