Emmanuel Macron a donné une interview sous son nom le 23 juillet en amont des « JO » du 23 juillet. Et pourtant. Lucie Castets, Candidat à Matignon sous le nom de Nouveau Front Populaire (NFP), a été vendu le 23 août par le chef du budget à l’Elysée et a reçu le même titre que lui D’autres partis sont représentés au Parlement.

Six semaines après le second tour des élections législatives, Emmanuel Macron a décidé de mener une série de consultations en vue de nommer un Premier ministre et de former un gouvernement.

Première troupe

Par ailleurs, le NFP maintient la pression pour accéder à Matignon. Quatre députés – socialistes, socialistes, communistes et écologistes – sont arrivés à l’Elysée pour se séparer du président fort de 193 députés, première force au Palais-Bourbon.

« Emmanuel Macron a enfin décidé d’avancer. » Mais pour faire quoi ? Je n’étais pas dans le bureau du président parce qu’il avait élu la législature des « constituants majoritaires », mais il s’est mis en mouvement chez lui », a déclaré Marine Tondelier, la secrétaire d’Etat des Verts, avant la nomination de Lucie à une nouvelle candidature Castet en une interview à « La Tribune Dimanche ».

La fragilité de son piédestal au Palais-Bourbon (devant quelques centaines de députés à la majorité absolue) tourmentait le NFP avec la menace imminente d’une motion de censure, le profil « techno » et l’absence totale de célébrité du candidat. Pour Emmanuel Macron, Matignon estime que l’État membre a trouvé cette hypothèse impossible.

« Nous sommes une gauche qui se présente devant le gouverneur, avec un programme économique sérieux, en contradiction avec les politiques négligées par les chefs de gouvernement depuis 2017 et que nous voulons combiner avec l’ouverture d’une procédure de dépassement du déficit », « , a expliqué Lucie Castets en fin de semaine dernière dans « La Marseillaise » en fin de semaine dernière et a déclaré: « Je déteste que le vivre ensemble commence. »

LFI Monte d’un cran

La France Insoumise (LFI) est en proie à un Grue Dimanche et brandit la menace d’un procès anti-pauvreté contre le chef de l’Etat, qui s’obstine à refuser la nomination de Lucie Castet. Dans une tribune publiée dans « La Tribune Dimanche » et signée en premier lieu par les trois principaux chefs d’orchestre de LFI – Jean-Luc Mélenchon, Manuel Bompard et Mathilde Panot – le mouvement accuse Emmanuel Macron de « coup d’État institutionnel ». démocratie » et refuse de décider des résultats de la législature.

Il rappelle l’article 68 de la Constitution, qui prévoit la destitution du Président de la République « en cas d’action coercitive incompatible avec l’exercice de son mandat ». « Il est évident que le refus de procéder à une élection législative et la décision de condamner l’électeur condamnent l’urgence du mandat présidentiel », écrivent les signataires à cette Tribune, le présentant comme un « avis de promulgation ».

Échéance bien usée

Une perspective qui montre qu’une procédure arrivant sur place n’est pas encore terminée. Car le PS n’a pas su désolidariser cette initiative. Plusieurs socialistes l’ont publiquement désapprouvée, pour déterminé de façon virulente. « Cette tribune n’a pas été signée par les chefs d’orchestre de LFI. « Elle n’engage que leur mouvement », a déclaré sur X Olivier Faure, le premier ministre du parti.

Il n’empêche. La pression était sur Emmanuel Macron, confronté à une équation quasiment insoluble. La Support des Jeux Olympiques Résultat, le chef de l’Etat s’est retrouvé avec une double victoire électorale (européenne et législative) et un Parlement sans majorité en trois blocs : 193 pour le NFP, 166 pour l’ancienne majorité d’Emmanuel Macron, 142 pour son Assemblée nationale et son 47 membres alliés de la Troisième République (ex-LR).

L’Elysée assure que ces concertations ont débuté avec la nomination rapide du nouveau Premier ministre. Objectif : Que s’est-il passé avant le début des Jeux Paralympiques (28 août). En juillet dernier, Emmanuel Macron avait déclaré avoir évoqué des chances de victoire. C’est du déjà dépassé.

Coalition Encore Aléatoire

Le chef de l’État était sur le point de quitter le commandant en chef de l’époque et de la situation, et a fait preuve d’astuce pour que les élections législatives soient décidées et divisées dans son camp. Le futur ancien premier ministre et nouveau président de l’ensemble du Parti républicain (EPR) à l’Assemblée nationale, Gabriel Attal, a fait sa propre division et d’autres Déjà pris l’initiative à pacte d’action » Adressé aux députés, exceptionnellement au RN, à ses alliés les Ciottistes et à LFI, pour préparer le terrain à leur successeur.

J’ai pris connaissance de certains tabous du président du camp (aide publique, taxation des super-profits, ISF-Verts) et j’ai eu recours à la vieille idée du « contributeur », qui me permettait de contribuer volontairement au budget de l’État.

Gabriel Attal n’était pas proche de Laurent Marcangeli, le patron du député Horizons, et a été licencié par ce dernier. « Le NFP est certes et ses députés en bloc en ce qui concerne les autres formations politiques, mais cela n’a pas été signalé. » la présidence de l’Assemblée nationale. Ce n’est pas la majorité. Nous proposons de ne pas s’exposer, ils ne resteront pas dans une logique de blocage insultante et affirmative lorsqu’ils appliqueront leur programme, car leur programme sera expliqué au « point » de la semaine dernière. Deux d’entre eux ont brisé le NFP pour harceler les socialistes. Versez l’instant en attendant.





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