« Interférence majeure », « examen intrusif ». L’industrie européenne ne peut plus faire face à son visage L’intention de Bruxelles de contrôler les investissements dans le commerce sous la pression de Washington, luttant contre l’appareil techno-militaire chinois.
Si de vagues controverses font d’un projet une proposition parmi les entreprises européennes, les grands clients français maintiendront leur voix. Le projet de la Commission peut présenter un risque spécifique pour la lutte concurrentielle du mode tricolore, sans compter le encore critiqué par les concurrents européens, l’Afep, l’Association française des entreprises privées. « De l’autre côté du système de tous les systèmes d’exportation, le modèle d’internationalisation des groupes français est l’essence d’investissements dirigés par des entreprises étrangères, de créations de succursales ou d’acquisitions. Il n’est pas possible de faire dérailler la mode, la valeur de l’organisation représente le centime plus les grandes entreprises françaises.
