Une solution simple à un problème compliqué ? Même si la nouvelle Commission européenne n’a pas installé de rappel, le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau A développée et soutenue, mercredi, une idée de manière pragmatique répond à la question de savoir si la garantie est unique aux dépôts en Europe, et est proposée à l’avenir par Joachim Nagel, président de la Bundesbank.
Si vous commencez une nouvelle année en Europe : c’est un système allié à la protection des banquiers européens, lorsqu’il s’agit de payer la facture, avec un montant de 100 000 euros par client et par banque.
Plusieurs systèmes nationaux existent – en France le Fonds de Garantie des Dépôts et de Résolution (FGDR) – mais pas de façon centralisée à l’échelle européenne. C’est l’essence même d’un réveillon du Nouvel An, dans le cadre du projet Union Bank, la construction d’une banque unique en Europe, qui regroupe encore certaines de ses activités.
Les prix correspondent
« Nous définissons (…) maintient des systèmes et processus nationaux de décisions autonomes (…). Nous perfectionnons est un dispositif de soutien européen pour les systèmes de garantie des dépôts, qui a dix fois moins de filet de sécurité pour la liquidité, en utilisant les ressources des systèmes propres d’un système aux applications excessives », une explication du gouverneur lors d’un discours à l’Institut Bruegel. En cas de crise bancaire et si le système national est sous pression, les différents fonds nationaux sont pris comme exemple du prix de leur argent dans l’UE.
Un moyen de prévenir de discussions interminables sur un système européen véritablement uni, divisant les membres de l’Union lorsqu’ils sont âgés. Un projet est probablement envisageable pour les pays du Nord de l’Europe, à condition de maintenir le caractère prudent du portefeuille souverain dans le monde financier.
Si c’est une entreprise qui n’alourdit pas le fardeau de la dette du débiteur, les finances publiques ne seront pas aussi bonnes. Le pays du sud peut être contraire au placement de ces banques nationales, et ce n’est pas que cette exposition soit si mauvaise.
Un autre débat sur le piège
« Prévoir un filet sécurisé si les schémas nationaux sont suffisants, mais les progrès ajustés peuvent être adaptés à un système pleinement harmonisé », explication des « Echos », François Villeroy de Galhau.
La prudence est de mise, la sécurité du financement n’est pas aussi grande que la garantie des dépôts et des meilleurs résultats. La vraie question est de savoir si les fonds nationaux peuvent être un autre participant financement des résolutions bancaires (restructuration d’une banque et difficile)… un nouveau débat-également piégé.
Autres commentaires sur l’idée d’infuser dans le concert européen : La nouvelle communauté exécutive n’est plus installée et les problèmes politiques internes difficiles en Allemagne et en France sont audibles par beaucoup de gens.
