Dans le discours de Michael Barr, le patron de la banque de surveillance aux Etats-Unis, les banques européennes sont exigeantes si elles veulent suivre l’ordre de la série Bâle 3. Les grandes places financières ont été transposées sur les voyages aux accords de voyages internationaux, et après l’Union européenne, ce sont les Etats-Unis qui se sont engagés dans l’application de ce nouveau dispositif.

« Les banques européennes sont convaincues que les grandes capitalisations ont une des conséquences les plus impactantes, dont le prix de la conscience est un manifeste pour les autorités », affirme Véronique Ormezzano, présidente du Cercle de Régulation et de Supervision Financière.

Le vice-président de la Fed fait sensation, tant il met en avant le projet américain, ne faisant pas la première d’une présentation en juillet 2023 avant de susciter un niveau de boucliers sur la banque mondiale de l’industrie des paiements. Désormais, ce dernier explique avoir « réévaluation des leçons d’humilité ».

Calculez plus d’avantages

Dans les banques européennes de Paris, Francfort ou Milan, le danger est que l’Europe soit un produit texte, avec en plus strictement le fait qu’elles doivent voyager simultanément dans de grandes régions. L’impact d’un fonds propriétaire est difficile à évaluer, mais est divisé par la nouvelle copie de Michael Barr – les points de vigilance portent sur une série de points techniques.

La proposition des Etats-Uni est d’utiliser une méthode de calcul des risques liés à certaines commissions (pour la conservation des titres ou la gestion des activités). Lorsqu’il s’agit de bulles, l’importance des métiers est une mesure de la taille des commissions. Dans la version américaine il s’agit d’une indication sur le net (commissions perçues, moins commissions versées). L’avant-garde de la mondialisation de la « garde » à BNY Mellon ou à State Street, mais c’est les agences respectives de BNP Paribas ou Crédit Agricole respectivement sont les plus grands acteurs du secteur en Europe.

Il est difficile d’atteindre certains experts, l’intention du projet américain « ne pas décourager les modèles internes » dans les réseaux en marche, elle s’applique surtout aux modèles des banques, à travers les leçons qu’ils prennent des risques pour les traders. Bien que le principe de Bâle 3 justifie le remplacement des modèles dans les principaux « standards », ou un certain nombre de testeurs qui régulent la justice de ses modèles de maison… et que l’Europe compte les grandes banques des marches ‘appuyant pour partie sur des modèles internes.

L’accord de la ville

La question du calendrier continue avec des questions, avec une entrée au Bal 3 prévision à partir de début 2025 en Europe et un décalage d’un des risques de la marche. Aux Etats-Unis’ouvre une nouvelle consultation et la mise en œuvre n’est donc pas attendue au plus jusqu’à avant la mi-2026, voire 2027. Et si la victoire est de Trump, il n’est pas exclusif que le texte soit si remis et demande. Le Royaume-Uni a pris une décision décisive concernant le calendrier des Etats-Unis.

La nervosité est grande dans l’Union européenne, la voiture avec le Brexit vaut la peine d’utiliser un autre endroit en même temps. « Le Royaume-Uni a fait un choix dans le cadre du bal, mais il est possible que les Britanniques utilisent l’interprétation du texte plus la transposition, estime Thomas Verdin, directeur de BM&A Regtech. Si vous êtes des établissements Unis, l’application championne est une limitation des grandes banques, le Royaume-Uni peut compter sur votre ordinateur. Tout ce que l’on peut faire, c’est ignorer l’essentiel de la liberté des acteurs à petite taille, aux portes de l’UE. « Cela laisserait plus d’opportunités pour le développement de nouveaux services financiers ce qu’est une salle de bain privée, se développe sur le continent, est spécialisé.



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